Entrepreneuse : les erreurs que j’ai faites au début … et que vous pouvez éviter

On ne devient pas graphiste stratège ou entrepreneuse alignée du jour au lendemain.
On apprend. On se trompe. On recommence.

Et moi aussi, j’ai fait des erreurs.

Pas des petites maladresses, non. Des vraies erreurs de fond.
Des décisions prises par peur, par manque de clarté, par envie de bien faire… mais qui m’ontralentie.

Alors aujourd’hui, j’ai envie de les partager.
Parce que si vous êtes au début de votre aventure, ou même en pleine évolution, ces erreurs peuvent être évitées.

Et ça, c’est déjà beaucoup.

1. Penser que le logo suffisait

Au tout début, je pensais que le logo était le cœur de tout.
J’en créais de très beaux, graphiquement justes, esthétiques.
Mais il manquait quelque chose.

Une vision d’ensemble.
Une intention claire.
Une stratégie derrière chaque choix.

J’ai compris avec le temps que le logo n’est qu’un élément parmi d’autres.
Que sans univers visuel cohérent, sans message clair, il ne peut pas tenir le projet à lui seul.

2. Travailler sans cadre (et m’épuiser)

J’ai dit oui à tout. À toutes les demandes, tous les horaires, tous les formats.
Par peur de décevoir. Par envie d’aider.

Résultat ?
Des projets flous, des clients mal accompagnés, et une énergie en berne.

Ce que j’ai mis en place depuis :
– Un processus clair, des documents d’onboarding, un cadre bienveillant…
– Et surtout, la conscience que poser des limites, ce n’est pas être rigide.
– C’est créer de la sécurité. Pour moi comme pour mes clientes.

3. Me cacher derrière le visuel

Au début, je faisais “joli”.
Des identités harmonieuses, flatteuses, Pinterest-compatibles.

Mais j’avais peur d’aller plus loin.
De poser des mots. De parler stratégie. D’assumer ma vision.

Aujourd’hui, je sais que mon vrai métier, c’est la traduction d’un fond en forme.
C’est relier le pourquoi et le comment.
Et surtout, c’est accompagner mes clientes à s’incarner pleinement, pas juste à “être belles visuellement”.

4. Vouloir plaire à tout le monde

Je voulais faire “le bon choix”. Celui qui conviendrait à toutes.
Je m’adaptais. Je lissais. Je rassurais.
Mais au fond, je m’effaçais.

Ce que j’ai compris, c’est que le bon choix, c’est celui qui vibre juste pour vous.
Celui qui attire les bonnes personnes, pas “tout le monde”.

Et ça, ça change tout.
C’est là que le travail devient fluide, profond, durable.

Conclusion : Apprendre, c’est affiner sa posture

Ces erreurs m’ont fait grandir.
Elles ont forgé ma manière de créer, de guider, de construire les marques de mes clientes.
Je ne les regrette pas.
Mais si je peux vous éviter de passer par là, alors autant transmettre.

Si vous sentez que vous avez besoin d’un cadre solide, d’un regard stratégique et sensible pour construire votre marque, mon accompagnement est fait pour ça.